Lucien RAMACCIOTTI – Le Cyclope aux Mille Z’Yeux

4.500,00 - TVA 6 % incluse (oeuvre d'art)

Lucien Rama dévoile un monde figuratif empreint de douceur et de fragilité, habité par des cyclopes et des insectes dans un espace onirique.
Le Cyclope le plus connu, immortalisé par Homère (L’Odyssée, IX) est Polyphème, qui vivait du lait et du fromage de ses brebis.
Il convient d’aller à la rencontre de cet assembleur d’objets insolites, de ce « savant » coloriste qui sait réveiller « l’enfant intérieur” qui est en nous.
Aujourd’hui, cet artiste, qui vit et travaille aujourd’hui à Blegny, partage son temps entre son activité de peintre et de sculpteur, après une carrière d’enseignant et de chercheur.
Né le 9 février 1957 à Flémalle près de Liège, il fut initié à la peinture par le peintre ostendais Raymond Art.
Longtemps critique d’art, il a obtenu en 2013 le prix de la Critique de l’Unesco pour l’ensemble de son œuvre.
Avec lui, l’art contemporain interroge les récits mythologiques, l’innocence de l’enfance, ses rêves et ses parts d’ombre avec un brin d’humour.
Il a été tour à tour séduit par la sculpture des Cyclades, l’art des Étrusques et par la sculpture romane qui propose une synthèse de l’univers en ordonnant le végétal, l’animal et l’humain sur une surface donnée.
Dans les années 80, son esthétique se fondait sur une exploration du monde de l’enfance perdue ; une démarche influencée d’une part par la Bande-dessinée et d’autre part par les courants du pop art ou de la figuration libre.
A partir des années 1990, il peint principalement des scènes balnéaires et des atmosphères d’intérieur qui évoquent le monde de l’enfance mais toujours dans le respect d’une composition ordonnée.
Ni abstraite, ni totalement figurative, cette œuvre témoigne d’une certaine gaieté et de poésie.

Carole Hazelwood

entrée dans l’expo de Marche 2021

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Description

Lucien Rama dévoile un monde figuratif empreint de douceur et de fragilité, habité par des cyclopes et des insectes dans un espace onirique.
Le Cyclope le plus connu, immortalisé par Homère (L’Odyssée, IX) est Polyphème, qui vivait du lait et du fromage de ses brebis.
Il convient d’aller à la rencontre de cet assembleur d’objets insolites, de ce « savant » coloriste qui sait réveiller « l’enfant intérieur” qui est en nous.
Aujourd’hui, cet artiste, qui vit et travaille aujourd’hui à Blegny, partage son temps entre son activité de peintre et de sculpteur, après une carrière d’enseignant et de chercheur.
Né le 9 février 1957 à Flémalle près de Liège, il fut initié à la peinture par le peintre ostendais Raymond Art.
Longtemps critique d’art, il a obtenu en 2013 le prix de la Critique de l’Unesco pour l’ensemble de son œuvre.
Avec lui, l’art contemporain interroge les récits mythologiques, l’innocence de l’enfance, ses rêves et ses parts d’ombre avec un brin d’humour.
Il a été tour à tour séduit par la sculpture des Cyclades, l’art des Étrusques et par la sculpture romane qui propose une synthèse de l’univers en ordonnant le végétal, l’animal et l’humain sur une surface donnée.
Dans les années 80, son esthétique se fondait sur une exploration du monde de l’enfance perdue ; une démarche influencée d’une part par la Bande-dessinée et d’autre part par les courants du pop art ou de la figuration libre.
A partir des années 1990, il peint principalement des scènes balnéaires et des atmosphères d’intérieur qui évoquent le monde de l’enfance mais toujours dans le respect d’une composition ordonnée.
Ni abstraite, ni totalement figurative, cette œuvre témoigne d’une certaine gaieté et de poésie.

Carole Hazelwood